Emma Morin  Formée au violon et à la danse, elle commence à travailler au théâtre avec Madeleine Marion, Dominique Frot ou encore Christian Rist, dont elle est aussi l’assistante pour créer Le Studio Prosodique. Invitée en résidence dans le cadre des rencontres pluridisciplinaires du Centre d’Art Contemporain du Domaine de Kerguéhennec, elle propose des lectures in situ et participe pour différents artistes à diverses réalisations – pièces sonores, diaporama, expositions, films. Elle s’intéresse alors à la question de l’oralité, aux écritures non théâtrales comme celles de Louis-René Des Forêts, Alberto Giacommetti, Paul Gauguin … Pour France Culture elle enregistre trois ateliers de création radiophonique consacrés à Dante, Tarkovski, et Le Corbusier.

En 2005, elle crée avec le danseur Sylvain Prunenec et Christian Rist, Rimbaud illuminations, fragments improvisés, à la scène nationale de Bourges, puis s’engage avec le collectif KO.Com pour 2 créations entre Marseille, le festival des Arts de Malte et Charleroi Danse.

Elle poursuit par ailleurs sa collaboration avec le compositeur danois Mikael Nyvang - Te quiero, Vers l’arête - et enregistre pour Sébastien Roux Revers ouest, jouée à l’usine LU/Nantes.

Avec Philippe Grandrieux elle tourne Grenoble, installation sonore et visuelle, et en 2007 rejoint le collectif Les Possédés dirigé par Rodolphe Dana pour la tournée du Pays Lointain de Jean-Luc Lagarce.

En Mars 2007, sur invitation de Françoise Lebeau, elle expose avec la complicité du commissaire Aude Itting, son travail photographique - Allers Retours - à Lelabo, Paris .

Elle réalise pour l’artiste Julien Bismuth des performances tant corporelles que sonores (Galerie Valois/Paris, CAC La ferme du Buisson/Noisiel), et crée la première lecture de Stéphanie Chaillou, Un léger défaut d’articulation.

 

De 2011 à 2017, avec Pierre Meunier elle est aussi assistante dramaturge puis interprète pour Molin Molette et Badavlan.

 


En 2008 elle a fondé Le cercle Nombreux, et créé

Listen to Me, une pièce avant les actes, de Gertrude Stein,

Nothing to do, textes de Pascalle Monnier en 2011,

La femme tondue d’Anton Prinner en 2016. 

(La Fonderie/Le Mans, théâtres de la Bastille/Paris, Saragosse/Pau, Garonne/Toulouse, Nîmes, L’avant scène/Cognac, Académie Royales La Cambre/Bruxelles).

 

Elle prolonge son travail au travers d’ateliers auprès de professionnels et d’élèves : Classe Terminales Théâtre à Paris, Universités , Conservatoires.

En collaboration avec le Théâtre de Nîmes elle conduit des ateliers à la Maison d'arrêt de Nîmes, de 5 à 10 jours selon les cessions, et toujours accompagnée de l'exigence de la poèsie  : Poèmes de Samuel Beckett, Zig Bang de Georges Aperghis au quartier des hommes, et Ida de Gertrude Stein au quartier des femmes. En 2019 elle y lira L'innommable de Samuel Beckett.

 

Depuis 2016 elle crée au Théâtre de Nîmes un programme de Lectures : elle y invite le violoncelliste Vincent Courtois, le danseur Sylvain Prunenec, le guitariste Ryan Kernoa, la saxophoniste Christine Abdelnour, et le projet se développe avec le Carré d’Art, le Musée de la Romanité, différents publics et mises en situation - Michel Cassé, Edgar Morin, Arthur Rimbaud, Nastassjia Martin, Joyce Carol Oates,  Léonar de Vinci, Edvard Munch, Euripide.


Ce travail de lecture donne lieu en 2020 à des invitations : lecture du prix Hemingway pour la Maison d’édition Au diable Vauvert, et Bal(s) performance avec Nicolas Vargas pour les 20 ans de la Maison de la poésie de Nantes.

Emma Morin commence à photographier son alentour en 1995, créant de petits albums journaux de bord  de sa vie en France ainsi que des albums impressions de voyages ( Amérique du Sud, Caraïbes, Amérique centrale, Egypte, Indonésie, Maghreb ). Elle travaille en argentique, noir et blanc et couleur.

En Mars 2007, sur invitation de Françoise Lebeau, elle expose avec la complicité du commissaire Aude Itting, son travail photographique - Allers Retours - à Lelabo, Paris. Elle est invitée dans son émission Des mots de Minuits, avec Agnès Godard et Marion Mazauric.
En 2019 elle est sélectionnée pour le festival Femmes photographes de Vaujany, exposition et édition sont annulées par la pandémie Covid 19.
En Mai 2021 l’exposition Hudsult - anémie de peau à Pau, l’associe à Fanny Avram. Le travail qu’elle y dépose est composé d’une série de photographies Noir et Blanc argentiques, affiches dos bleu collées dans la ville et ses espaces, et des trois diaporamas réalisés lors des confinements 2020 et 2021 - Vue de mon lit, État d’attestation, Peau d’âme.


 

Vincent Courtois  De sa formation classique, il garde la technique,  la précision et la maitrise de l’instrument. Sa curiosité et son éclectisme l’amène tout d’abord à jouer dans diverses formations de musiciens aux univers très différents, des Rita Mitsouko à Christian Escoudé en passant par Michel Petrucciani et Michel Portal. Auprès de Sylvie Courvoisier, Dominique Pifarély, Joëlle Léandre et Joachim Kühn, il renoue avec l’aspect classique de son instrument. Sa participation aux formations de Rabih Abou Kahlil le libère en tant que soliste. Sa rencontre avec Louis Sclavis dont il partage l’approche cinématographique de la musique, révèle en lui un sens aigu de la mélodie.
Fort de ses multiples expériences, Vincent Courtois développe une recherche musicale singulière. La base de son processus créatif est un jeu de correspondances, un juste équilibre de personnalités et d’énergies, un effet de contraste, des idées de son, d’image, d’incertitude et de silence. Créant ainsi une musique où la liberté est paradoxalement gérée dans une rigueur absolue, attentive jusqu’au moindre détail, il donne sa chance au collectif et sa place à chacun, menant son travail de création dans un esprit de confiance et de partage.

 

 

Christine Abdelnour est née à Paris en 1978. C'est avec la découverte de la musique improvisée en 1997, qu'elle se consacre en autodidacte au saxophone alto et à l'expérimentation sonore en général.
En quelques années, elle développe un langage personnel et unique, ouvert à la micro-tonalité et aux techniques contemporaines. Loin de tout effet narratif, son jeu singulier se caractérise par l'attirance vers des sonorités souvent proche de la musique électroacoustique. Elle aborde le son comme une matière plastique malléable, riche en textures concrètes qui mêlent souffle, silence et de nombreuses distorsions acoustiques.
Elle considère l’écoute comme la base de sa musique. Seule cette "tension" et cette disponibilité immédiate permet de générer un espace intime mais partagé, une exposition de soi mais aussi une ouverture à l'Autre. Le dedans et le dehors se mêle pour révéler une réalité altérée par le son et ses déplacements dans l'espace-temps. Sa musique voudrait atteindre une intensité sensorielle qui interrogerait la question de la forme, du rythme, des textures, du mouvement, de l'équilibre, de l'harmonie ou de l'énergie.
En tournée internationale en solo ou dans différents projets réguliers avec Andy Moor, Magda Mayas, Chris Corsano, Eric Chenaux, Pascal Battus, Andrea Neumann, Joachim Nordwall, David Stackenas, Sven-Ake Johannson, Mazen Kerbaj, Sharif Sehnaoui et bien d'autres.
Christine a publié plus d'une quinzaine de cd et a collaboré avec différents artistes issus des arts visuels, de la danse, du théâtre ou de la poésie.

En parallèle, elle contribue à développer l’improvisation dans son pays d’origine, le Liban au travers notamment de l’organisation du festival annuel "Irtijal" depuis 2001, organisé par MILL (Musique improvisée libre au Liban). Outre ses activités musicales, Christine Sehnaoui s’intéresse de très prés au milieu du cinéma expérimental. Elle travaille ainsi ponctuellement dans un label indépendant LOWAVE qui éditent des DVDs proposant des films différents et novateurs de création artistique internationale et contemporaine.

 

 

 

Sylvain Prunenec a été interprète pour Odile Duboc, Dominique Bagouet, Trisha Brown, Boris Charmatz, Christian Rizzo, Deborah Hay, Olivia Grandville…
Interprète auprès de Dominique Brun depuis 2012, il danse dans Sacre # 197, Sacre # 2, L’après-midi d’un faune et Jeux, trois études pour sept petits paysages aveugles.
Depuis 1995, au sein de l’association du 48 qu’il co-dirige avec Dominique Brun, Sylvain Prunenec crée ses propres pièces. Ces créations l’amènent à collaborer avec des artistes divers : le poète Anne-James Chaton, l’écrivain Mathieu Riboulet, les plasticiens Clédat & Petitpierre, le vocaliste-improvisateur Phil Minton…
Il amorce aujourd’hui un projet intitulé 48ème parallèle : des traversées de différents territoires, à pied ou à moteur, en France et à l’étranger, au cours desquelles des danses sont proposées aux habitants, aux passants.

 

 

Après des études de philosophie à Clermont Ferrand et de danse contemporaine à Paris 8, Sylvie Pabiot suit la formation professionnelle de danseur dirigée par Mathilde Monnier au CCN de Montpellier. Elle crée déjà des formes courtes en solo ou trio et intègre ensuite la compagnie Maguy Marin pendant 5 ans, puis interprète la Fable de La Fontaine de Lia Rodrigues, tout en continuant ses propres créations. Elle fonde la Cie Wejna en 2004, à travers laquelle elle aiguise son écriture chorégraphique au service d'un questionnement politique et sociétal. La chorégraphe bouscule les codes en interrogeant la perception du spectateur et son rapport au temps en investissant des lieux inhabituels. En 2020 elle crée Le voyage de Roméo, solo sur le thème de la migration, écrit pour et avec le danseur ivoirien Roméo Bron BI, en 2021 Entre nos mains, performance participative à base de gestes quotidiens, et conçois actuellement une pièce pour 4 danseurs et téléphones portables, De loin en loin, qui interroge l'effritement des liens sociaux.

 

 

 Fanny Avram , Après une formation à l’ERAC, elle travaille comme comédienne avec A. Milianti, A. Neddam, C. Marnas, G. Cantillon, M. Pagés, O. Telliot, H. Karagheusz, A. Théron, Les chiens de Navarres, C. Errante. Comme actrice elle joue sur les films de Léa Fenher, de J.H. Roger, M. Barbé. À la télévision elle joue dans ‘‘Le tuteur’’. Elle travaille aussi avec J-M. Zahnd sur les cycles Radiophoniques G. Buchner et H. Muller de France Culture.
Parallèlement elle suit une formation de danseuse au sein de la Cie Ecrire un Mouvement. Plus qu’un apprentissage technique cette formation marque le début d’une recherche entre le corps et la voix qu’elle cultivera comme interprète au sein des compagnies chorégraphiques Ecrire un Mouvement et K.O.Com (Manon Avram avec qui elle co-écrit également ‘‘Sans’’), mais aussi avec la compagnie de théâtre Vol plané (A. Moatis). La rencontre sur plusieurs créations de Thierry Escarmant avec des musiciens au plateau ajoute à la lecture dramaturgique et sensorielle de l’écriture son aspect phonétique et musical.
Ces chemins empruntés comme interprète trouvent aujourd’hui une nouvelle approche avec ses propres mise en scène dont la première fut "Chto" sur un texte de Sonia Chiambretto et la seconde ‘Sans gras’ inspirée des textes de Falk Richter .

 

 

Ryan Kernoa est guitariste autodidacte issu de la scène noise rock nantaise du milieu des années 90. Depuis 2002, il développe une pratique de la musique improvisée en solo ou lors de rencontres sous le nom de ryan k. En 2003, il rejoint l'équipe du label Relax Ay Voo et participe notamment au projet No Jazz Welter Quartet avec le batteur Jérôme Renault. En 2005 il rejoint le groupe Kourgane et enregistre deux albums chez Amanitarecords : Bunker Bato Club (2006) & Heavy (2008). Il a notamment partagé la scène avec 4 Walls, Benoît Delbecq et Steve Arguëlles, Frédéric Blondy et Lê Quanh Ninh, Daunik Lazro et Phil Minton, Otomo Yoshihide, Andy Moor et Kaffe Mattews, Andy Emler et Thomas De Pourquery ; et joué avec Akosh S, Lucia Recio, Big Four, Joseba Irazoki, Phil Minton, Daunik Lazro et Médéric Collignon, Nicolas Lafourest, Christine Sehnaoui Abdelnour, Pantxix Bidart, Stéphane Garin, ... Entre 2006 et 2009, il fonde Ecrire Un Mouvement à Pau avec le metteur en scène et chorégraphe Thierry Escarmant, une équipe artistique produisant du spectacle vivant impliquant la musique live, le texte, le corps, la vidéo et la voix, et pour laquelle il compose la plupart des musiques qu'il interprète live (guitare folk, looper et effets). En 2008 il entame une collaboration avec le chanteur Frédéric Jouanlong et le batteur David Guionneau : Krieger Né en Allemagne, il arrive en France en 1984. Musicien de la scène hardcore/noise, il enregistre avec le groupe Voodoo Muzak six albums, crée le studio d’enregistrement/label AMANITA en 1990, et produit plus de 80 disques. Plus récemment il signe l’enregistrement et le mixage 5.1 de la bande originale du film Persépolis, et travaille à la sonorisation et la mise en espace de groupes de musique ainsi que d’ensembles alliant danse et musique.

 

 

 

 

Stephan Krierger Né en Allemagne il arrive en France en 1984. Musicien de la scène hrdcore/noise, il enregistre avec le groupe Voodoo Muzak six albums, crée le studio d'enregistrement / label AMANITA en 1990, et produit plus de 80 disques; Il signe l'enregistrment et le mixage 5.1 de la bande originale des films Persépolis et Pièce montéer. Stephan Krieger travaille à la sonorisation et à la mise en espace de groupes de musique, mais aussi de metteurs en scène et chorégraphes. Depuis 2010 il crée l'habillage sonore et assure la régie des compagnies Ecrire un mouvement/Pau (Qu'avez-vous vu?, Un 3 mars 1996) et le théâtrez du rivage/St-Jean de Luz (Fort, Comme du sable). En 2011 il s'engage auprès d'Emma Morin et du Cercle Nombreux et crée l'espace sonore de Nothing to do. En 2013 il signe le design sonore de la déambulation d'Intérieur nuit Extérieur jour de Manon Avram/Collectif KO.com.

 

 

Gilbert Traïna Diplômé en psychomotricité, il rejoint le théâtre et la compagnie Enfin le jour de Thierry Escarmant et Richard Cayre de 1996 à 2000 et s'y  inscrit aussi bien comme danseur que comme acteur. A partir de 2000, il collabore étroitement à toutes les créations de Thierry Escarmant et de sa nouvelle compagnie Ecrire un mouvement, tant sur la définition des projets et des travaux de recherche que sur leur interprétation. C'est avec connivence et complicité qu'ils réalisent ensemble : Déjà si loin (2000), Parlez-moi (2002), Quelqu'un (2003), Nous n'avons fait qu'à fuir (2004, N'ayons l'air de rien (2004), 4'48 Psychose (2005), Delta (2006), Alpha beta (2007), Pour rire, pour passer le temps. Au cinéma il rencontre Alain Guiraudie avec L'inconnu du lac, selectionné à Cannes 2013 pour Un certain regard, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige avec Please, open the door (Arte 2008) et Sébastien Betbeder avec Nuages en 2006. A Marseille, avec Manon Avram et le collectif KO.Com il entame un travail de collaboration autour de la mise en relation de la photo et du vivant : Profil bas (Naples 2005), Diptyque II (2006), 8 minutes de pause (2007), Sans (2008), et Intérieur nuit (2010). A toulon avec Frédéric Garbe, L'autre compagnie, il crée Le mois de Marie de Thomas Bernhardt, Visites de Jon Fosse, et Pinocchio de Collodi en 2013.

De façon complémentaire il participe à de nombreux festivals de lectures et s'intéresse plus particulièrement aux auteurs contemporains tels que Marguerite Duras, Didier-Georges Gabily, Joris Lacoste ou Pascal Dupin, et il intervient régulièrement dans des ateliers théâtre auprès d'étudiants (Université de Pau), d'élèves (Lycée agricole/Montardon), Ecole des Beaux-Arts et de la Communication/Pau) ou de patients (Institut Supérieur de rééducation psychomotrice/Marseille).

 

 

Fréderic Jouanlong Chanteur, influencé par Phil Minton, Mike Patton ou Benat Achiary, il est membre fondateur du groupe Kourgane. Passionné par l'improvisation et l'onomatopée, s'intéresse à l'idée du sampling, et s'appuie suer la pratique du théâtre et de la danse buto. Il joie avec Daunik Lazro S, Yann Gourdon, Ryan Kernoa, Christine Sehnaoui, Lucia Recio, Jesus Aured, Carole Bonneau, Emma Morin, Fanny Avram? Gilbert traïna, Léone Cats-Baril, Thomas Bonvallet... Pour le festival In-extremis du théâtre Garonne/Toulouse, il interprète en regard de Listen to Me de Gertrude Stein, la partition d'Hugo Ball, Karawane, à ce jour encore en tournée.. Depuis 2010 Frédéric Jouanlong intervient à L'Ecole des Beaux-Arts de Pau sur la thématique du ready made. En 2011 il rejoint le Cercle nombreux pour la création de Nothing to do. Depuis 2012 il travaille en trio avec Donik Lazero et Thomas Bonvallet et en duos avec Ryan Kernoa et David Chaesa, et poursuit un travail d'écriture destiné au plateau (Les angles, Bilan de compétence). En 2015 il crée Volatile, pièce sonore performée et est engagé par Fanny Avram comme acteur et poète sonore sur la pièce Chto de Sonia Chiambretto.

 

 

Laurent Bénard Au départ régisseur plateau, manipulateur sur les créations Retour en Afrique et Les Girafes de la Compagnie Royal de Luxe, Laurent Bénard assure les créations lumière de la Compagnie 3BC de 1992 à 1999, puis celles de Jacques Vincey et Guillaume Cantillon. Depuis 2000 il est régisseur lumière pour la Compagnie Jérôme Deschamps. En 2003, il réalise la lumière du spectacle de Yolande Moreau dans le film Quand la mer monte de Yolande Moreau et Gilles Porte, et travaille ensuite pour Fabrice Michel sur Dors mon petit enfant, et Jamais nous serons séparés. En octobre 2005 il éclaire Bruno Maman lors de ses concerts au Lavoir Moderne/Paris. Depuis 2007 il travaille avec Bruno Geslin : Je porte malheur aux femmes, mais je ne porte pas bonheur aux chiens et Kiss me quick. En 2006 il s’associe au travail d’Emma Morin et crée les lumières de Listen to Me. En 2009 il signe les lumières de Timon d’Athènes de Razerka Ben Sadia-Lavant Maison de la Poésie/Paris,; en 2010 celles de l’exposition de Marie Cool et Fabio Balducci Une vibration presque inaudible à l’oreille nue…,CAC/Brétigny, ainsi que celles de Dom Juan de Marc Sussi , Théâtre de la Bastille/Paris. En 2011, il crée les lumières de Jungle, co-mise en scène de patrice Thibaud, Michèle Guigon et Susy Firth au théâtre de Chaillot, celles de Dark spring de Bruno Geslin et de Nothing to do d'Emma Morin.

 

 

Carole Cheysson travaille dans le monde de l’audiovisuel depuis plus de 10 ans. Elle réalise des films dans des univers très différents : ainsi elle créé la vidéo des mots pour Emma Morin dans la pièce Listen to Me, mais elle travaille aussi à la réalisation de films documentaire sur des sujets de société comme Les Nouveaux Détectives pour France 5, ou bien encore des courts-métrages pour la télévision ou internet comme Vie de Brut et Horaires d’Ouverture sélectionnés dans de nombreux festivals. Elle conseille Laurent Bénard pour le montage des images vidéos réalisées à La Fonderie projetées dans  Nothing to do.